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Ajo blanco (ou plutôt beige)


L’ajoblanco est une soupe froide, typique de l’Andalousie.
Un gaspacho de couleur blanche qui est préparé dans sa version originale avec des amandes émondées, de la mie de pain, de l’ail, de l’huile d’olive, du sel, de l’eau et du vinaigre de Xérès.

Littéralement son nom signifie ail blanc!
Une recette sûrement héritée des Grecs et des Romains qui préparaient une sorte de soupe épaisse à base de pain rassis, d’ail et d’huile d’olive.
Autant dire que ce gaspacho existait avant même la tomate et donc que son homologue rouge qui a pris le devant de la scène!

Déjà à l’époque donc, on ne gaspillait pas et encore moins le pain.
J’aime beaucoup l’idée d’associer des ingrédients simples et de recycler le pain perdu.
De plus, elle est souvent servie avec des raisins blancs pour un effet sucré-salé rafraichissant.

Un tour de blender et c’est joué: parfait lorsque l’on ne souhaite pas passer des heures en cuisine

Dans ma version les amandes ne sont pas émondées, le pain est utilisé dans son intégralité (je conserve la croute), j’utilise un peu moins d’ail (bon mais un peu trop odorant) et je sers avec du melon rôti! j’y ajoute ainsi un contrasté intéressant entre le froid de la soupe glacée et le chaud des dés de melon grillé.
Il s’en passe des choses à la dégustation!!!

Vous pouvez remplacer le lait d’amande par le fameux lait de pépins de melon

Cette soupe se déguste en entrée mais je la recommande aussi à mes patients en collations. Oui c’est un parfait gouter: rassasiant, frais et qui permet de tenir jusqu’au repas du soir.

Est-ce que vous savez que l’on peut faire de la pâtisserie avec son blender?
Il est effectivement capable de nous aider à préparer des pâtes liquides de manière express et homogène. Et c’est parfait lorsque nous vous régaler nos proches sans passer des heures en cuisine.
C’est donc une recette de clafoutis que je vous propose. JE l’ai décliné avec des mirabelles car j’apprécie leur saveur douce et que cela change des cerises.
Une version 100% végétale: sans oeuf, sans lactose et que vous pouvez décliner sans gluten pour les intolérants. Il suffira de remplacer la farine de petit épeautre par de la farine de riz.
Pour les fruits aussi, vous pouvez varier!
En définitive, cette pâtisserie peut suivre les saisons et se décliner à l’envie.
Finalement le plus long c’est d’attendre la cuisson…

Dernière astuce, moi j’aime le préparer la veille et lorsqu’il est complètement refroidi je le laisser au réfrigérateur toute la nuit. Il est ainsi tout frais et presque crémeux au moment de la déguster le lendemain.

Je vous le racontais ici mais il ne faut pas jeter les pépins de melon.

Ils ont de belles vertus et en plus on peut les accommoder de différentes façons.
La version la plus simple c’est de les croquer après les avoir fait griller.

Soit on opte pour une version salée pour les déguster à l’apéritif ou à saupoudrer dans ses salades ou ses soupes.

Soit on opte pour une version sucrée pour les saupoudrer dans les yaourts, glaces ou les incorporer dans des granolas.

Quoiqu’il en soit, ne les jetez pas! et régalez-vous sans faire de déchets (ou presque…il restera que la peau)

Tout le monde connaît la fameuse histoire des soeurs Tatin qui auraient mis au point leur fameuse tarte par maladresse.

Erreur de « débutantes » qu’elles n’étaient pas, oubli par inadvertance bien que la notion de charge mentale n’était pas encore montré du doigt, maladresse mal réveillée…

On a quand même du mal à comprendre comment oublier de mettre une pâte dans une tarte?

A moins qu’un critique gastronomique malin n’inventa l’anecdote pour se moquer de l’intelligentsia parisienne et qui marqua ainsi l’histoire à coup de gros canular!

Il a réussi son coup et a inscrit les soeurs solognotes dans la postérité du dessert inversé.

il faut avouer que c’est franchement une réussite ce concept de fruits cuits sous la pâte, ils se retrouvent confits! Tout moelleux et fondants et imprégnés de leur jus de cuisson qui exacerbe leur saveur.

Mais pourquoi s’arrêter aux pommes, quand tant de plaisirs gustatifs s’offrent à nous? C’est une version salée que je vous propose avec des aubergines! Les miennes étaient des aubergines blanches mais on peut le faire avec les violettes.

Et je dois dire que c’est une belle réussite…qui ne laissera pas grand monde indifférent.

Dégustée juste tiède c’est un pur bonheur qui viendra égayer vos tables estivales.

Le banana bread c’est un incontournable!
C’est vraiment la recette dont j’use et abuse lorsque j’ai des bananes trop mûres à faire passer. Mais pourquoi se limiter aux bananes?
Dans un esprit anti-gaspillage alimentaire, j’aime y ajouter d’autres morceaux de fruits.
Et là par exemple j’avais des fraises trop mûres elles aussi.
On le sait, l’alliance fraise-banane fonctionne très bien et je vous le confirme de nouveau avec ce banana très fruité! Les fraises révèlent une toute autre saveur lors de la cuisson.
J’adapte ensuite toujours ma recette en fonction de ce que j’ai dans les placards:

Il s’agit d’un gâteau sans sucre raffiné, j’ai utilisé ici du sirop d’érable mais que vous pouvez remplacer par un sirop de dattes par ex ou ne pas mettre de sucrant du tout!

C’est aussi une version sans matières grasses, juste de la purée d’oléagineux. En général dans le banana on rajoute du beurre de cacahuète mais en l’occurence avec la présence des fraises j’ai préféré opter pour de la purée d’amande.

Idem pour la farine, je fais souvent des mélanges! Petit épeautre et sarrasin c’est pas mal.
Vous allez voir c’est rapide à faire! On mixe les ingrédients liquides ensembles, on prépare les produits secs de l’autre, puis on mélange le tout!
On enfourne et C’est rapidement prêt pour un gouter.

Mais ce que je préfère c’est encore le lendemain! Au petit déjeuner, le trancher et le passer au grille-pain puis lui tartiner une cuillère de purée de noisette (ou autre! et pourquoi pas de pâte à tartiner!). C’est assez divin tout juste tiède!
ça plait beaucoup aux enfants.

Aller on y va!!

Vous connaissez les févettes?
C’est un légume préhistorique!!
ça va plaire aux amateurs de « régime paléo »
Ah ben mince non ils bannissent les légumineuses…C’est balot!
Parce que les hommes préhistoriques eux et bien il paraît qu’ils aimaient beaucoup les fèves sauvages.
A priori ils avaient même compris qu’en les faisant sécher elles pouvaient leur permettre de survivre à la morte saison.

Bref, les févettes il s’agit tout simplement de fèves sèches et décortiquées vendues à notre époque moderne dans le même rayon que celui des pois chiches!

Au printemps on aime bien la fève fraiche et consommée parfois crue mais finalité elle s’apprécie tout au long de l’année grâce à sa forme sèche et cuite.
Evidemment elle est bonne pour la santé (protéines, vitamines, fibres) et économique!

On peut l’utiliser sous différentes formes, et bien souvent elle sert de bases à des préparations de types potages, sauces, tartinades, galettes, falafels, boulettes et compagnie…
En somme, on l’utilise comme le pois chiche.

D’ailleurs c’est en houmous que je la propose ici!
Armée de mon fidèle blender, s’agit ni plus ni moins que de la recette classique de houmous dans laquelle j’ai subtitué le pois contre la fève.

J’ai aussi supprimé la traditionnelle purée de sésame (tahini). Je trouve que les fèves ont une légère amertume que je n’ai pas voulu accentuer. Libre à vous de la mettre ou pas.

Et pour accompagner ce « mezze » et bien je vous propose des petits dips de chou-fleur rôti!
Et vous allez voir que les deux réunis font plutôt bon ménage.

Bon dommage pour nos ancêtres à priori le chou-fleur ne s’est fait connaitre qu’à l’antiquité…ils n’auront pas pu apprécier cette alliance magnifique!
Les adeptes paleo non plus d’ailleurs.

Voici des gaufres salées à la carotte pour égayer les assiettes et apporter de la couleur!
On pourrait tout à fait les décliner en version sucrée: on switche le cumin contre de la cannelle et on y ajoute un sucrant au choix: du sirop d’érable par exemple!

Mais si j’aime la version salée c’est parce que je peux les décliner en version apéritive ou en version repas complet.
Elles font office de « trempette » dans des sauces estivales par exemple, en les découpant en bâtonnets. Cela change des gressins et c’est mieux que les chips. Sympa pour des apéritifs entre amis.
Mais ce que je préfère c’est encore la gaufre-repas!
Comme on mange des crêpes salées avec des garnitures et bien là c’est une gaufre que je trouve visuellement plus sympathique. On peut s’en donner à coeur joie pour agrémenter de crudités à base de fruits et légumes (le mélange sucré-salé, c’est très sympathique aux beaux jours).
Vous pouvez les préparer à l’avance et au moment de servir ma petites astuce pour leur redonner du croustillant, c’est de les passer au grille-pain.

Rapide et efficace, il ne reste plus qu’à agrémenter. Par exemple de la salade, des morceaux de fraises fraîches, des myrtilles, des radis, des olives vertes, des graines et une tartinade ou du houmous.
C’est frais et plutôt léger à manger.

Pour la pâte je choisis de mélanger farine de petit épeautre et sarrasin mais vous pourriez troquer contre de la farine de riz pour les versions sans gluten.
Je trouve que le sarrasin apporte une petite saveur noisette agréable sur les versions salées.

Enfin dernière astuce: elles se congèlent très bien!
Lorsque vous prévoyez une tournée, doublez les quantités et congelez la moitié.
Vous serez ravis de pouvoir les sortir le jours de flemme ou d’apéritifs improvisés!
Mais finalement ce sont aussi des encas salés qui peuvent faire office de gouter…il n’ y a pas d’heure pour en manger! C’est comme on aime.

🌿🎭 Beignets de carnaval sans oeufs et sans lait 🎭🌿

Voici une chouette recette pour préparer Mardi Gras avec des beignets ou des bugnes plutôt, car les beignets sont en général fourrés.
Ces « merveilles » sont incontournables pour fêter comme il se doit ce dernier jour de « gras ».
Même si l’on peut aussi faire des crêpes, des gaufres, des churros…selon ses envies.

🔸Pourquoi fêter mardi gras?
Il est d’usage de manger en abondance à la veille du jeûne du carême, 47 jours avant Pâques! Même si les origines sont chrétiennes, c’est tout à fait le genre de fête qui peut revêtir un caractère laïque, et qui coïncide avec la période de carnaval.
Ce mot italien provient de « Carnis levare » qui veut dire ôter la viande.
C’est ainsi que le carême se célèbre, période où l’on s’abstient de viande.
Peut-être aussi l’occasion de vous lancer un défi? Tenté par 47 jours d’alimentation végétarienne?
Et pour démarrer justement dans votre démarche je vous propose donc ma version 100% végétale des bugnes! Vous allez vite succomber car ils sont moins riches que la version traditionnelle et bien moelleux.

En général ces petites crêpes de tortillas originaires du Mexique sont fourrées de fromage fondant et de viande. Evidemment je les décline dans une version végétale et elles ne manquent pas de protéines pour autant! Je dirais même que déclinées à ma sauce, elles sont plus « healthy » car beaucoup moins grasses et par la même occasion moins caloriques.

Dans ma version, la garniture est composée de maïs, haricots rouges, de poivrons (frais en saison ou conservés à l’huile), d’un beau coulis de tomates…et en fait, vous les agrémentez comme vous voulez!!

Ce plat est relativement rapide à préparer car les tortillas ne nécessitent pas de temps de pousse. On réalise la pâte et on l’abaisse en galettes très fines sans attendre. Il n’ y a plus qu’à poêler quelques minutes et voilà. Pas question d’acheter celles du commerce pleines d’additifs pour exemple composition d’une marque distributeur: stabilisants : E422 – E466 – E412, poudres à lever : E500 et E450, acidifiant : E296, émulsifiant : E471, dextrose, conservateurs : E282 et E202…

Quand vous allez voir la composition des miennes, évidemment on ne réfléchit pas deux fois!

Alors l’idéal c’est d’utiliser de la farine de maïs mais lorsque je n’en ai pas sous la main je la remplace par de la farine de lupin. Cela fonctionne très bien aussi. Je mélange avec du blé pour plus de tenue mais pour les sans gluten, vous pouvez faire 100% maïs.

Avec les proportions indiquées je réalise 4 quésadillas de tailles moyennes (c’est à dire à la taille de la poêle)

Pour la garniture, faites vous plaisir et amusez-vous même à varier en fonction de vos envies et des saison.

Ces petits pains d’origine indienne sont hyper faciles à faire et surtout ils sont très bons!
Et moi je les aime quand ils sont encore tièdes et qu’ils sortent tout juste de la poêle! Car oui pour les cuire c’est dans une poêle que cela se passe.
Traditionnellement les naans sont cuits dans ce que l’on appelle un tandoor (un genre de grand pot en terre cuite cylindrique enfoui sous la terre) et dans lequel on colle les disques de pain sur les parois très chaudes pour les faire cuire. Mais ni vous, ni moi, ne sommes équipés d’un tel ustensile et puis très honnêtement jouer les équilibristes pour ne pas que la galette tombe c’est sûrement tout un art ancestral que l’on ne va pas maîtriser comme ça.
Alors la poêle ça nous va bien!
Pour la recette difficile de trouver la version originale (sauf si vous êtes allé en Inde peut-être) car on voit un peu de tout et son contraire. J’ai même trouvé des versions avec de l’œuf!
A priori c’est du pain donc farine + eau+ sel ça me parait une base classique.
On va y ajouter un peu de matière grasse pour le côté moelleux (et il faut le dire pour le goût) et si en Inde ils sont adeptes du ghee (beurre clarifié) je me contente de margarine (100 végétale ) et ça fonctionne bien.
Il n’est pas rare de voir des naans farcis (au fromage notamment) mais pour ma part c’est une version nature que je vous propose! Et vegan!
Ah oui, veggie oblige, je ne peux m’empêcher d’ajouter des graines…et oui le pavot ça a son charme. Évidemment c’est optionnel.
Je les saupoudre aussi d’un sel parfumé (un mélange sel marin et herbes aromatiques) et je vous assure que dégustés encore tièdes, ils sont wahouuu!
Mais vous pouvez tout aussi bien utiliser d’autres condiments comme du curry, du paprika, ou du sel de céleri c’est très bon!

Aller assez bavardé et en cuisine!

Pou l’anecdote, ces petits naans peuvent aussi se déguster sucrés.
Avec une touche de confiture ou de pâte à tartiner chocolatée autant vous dire que c’est un goûter fort sympathique.

A l’approche des fêtes de fin d’année, le chocolat est souvent mis à l’honneur.

J’ai donc voulu changer un peu la donne et ne lui offrir qu’un second rôle pour une fois.
Et je réserve la 1ère place aux fruits et plus précisément aux cranberries.
J’aime beaucoup leur petit côté acidulé et de les marier avec un peu de pistaches et de cacao, je trouve que l’ensemble fonctionne plutôt bien.
Cela donne des petites bouchées que l’on peut rendre encore plus festives à l’aide d’une touche de paillettes alimentaires dorées.

A l’intérieur on peut y glisser (ou pas) une noisette!
Le petit effet surprise joue bien le jeu et cela apporte aussi une note croquante supplémentaire.

Si vous n’aimez pas les cranberries vous pouvez remplacer par des abricots.
En fait, vous pouvez remplacer par n’importe quel autre fruit sec mais je trouve intéressant l’acidulé.
Si vous consommez ces friandises en fin de repas trop riche par exemple, cela contribue à atténuer l’effet « ventre plein ». D’ailleurs je propose ces petites bouchées au moment du café à la fin du repas.
Mais vous pouvez les consommer à tout moment et ne sont pas réservées qu’aux moments de fêtes, ni au repas du midi.

Elles peuvent se transformer en collations ou snacks sains car elles sont sans sucre ajouté.
La saveur sucrée ne provient que des ingrédients, bruts, bio et que nous transformons nous-même.
La qualité du cacao d’enrobage est importante également, car plus le % de cacao est élevé et plus il source bienfaits notamment en antioxydants.
Il est certes plus gras (mais aussi moins sucré) mais en qualité de couverture, rien d’excessif et la notion de plaisir est respectée.

Encore une fois, l’idée est de pouvoir sélectionner avec soin ses ingrédients et de faire maison.

C’est bien pour cela que mon vitamix est mon outil quasi quotidien.

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Le houmous est un grand classique du moins dans sa version traditionnelle à base de pois chiche.
Mais ce qui est intéressant c’est de le décliner au gré des envies et des saisons.
On lui donne alors des couleurs et des saveurs différentes,toujours en partant de sa recette initiale.
Ainsi après avoir déjà fait du houmous à l’avocat (pour ceux qui ne saurait choisir entre houmous et guacamole) , du houmous à la betterave rôtie, du houmous à la tomate…
J’ai opté pour la version automnale à base de butternut.
Un houmous orangé à la savuer douce et relevée par le fumé du paprika! Car oui j’y ai ajouté (beaucoup) de paprika fumé. Je trouve qu’avec la courge butternut cette épice fonctionne à merveille.
Mais ce qui contribue également au fait que le houmous soit si merveilleux en bouche, c’est de faire rôtir la courge au préalable. Cela concentre la saveur, caramélise les sucs en surface et c’est donc incomparable pour donner un résultat final très intéressant.
Le houmous en lui-même est hyper rapide à faire, un tour de blender et c’est fait! Finalement c’est juste la cuisson de la courge (pas très compliquée) mais qui est à planifier pour faire ce mezze très prisé.
Je vous donne la versions rapide à base de pois chiches en bocaux et déjà cuits.
Mais vous pouvez les faire cuire vous-même et le houmous n’en sera que meilleur.
Astuce: pour accélérer la cuisson ajouter un peu de bicarbonate de soude dans l’eau de cuisson, puis enlever la peau des pois chiches. Ils seront ainsi bien plus digestes et la texture du houmous n’en sera que plus agréable.
Ce houmous je le propose aussi bien en apéritif, qu’en entrée voire même en collation salée.

j’ai déjà montré plusieurs fois la réalisation très rapide de ce petit « crottin » de soja sur mes réseaux.

En fait il suffit de laisser égoutter du yaourt de soja pendant 24-48H pour obtenir une masse facile à customiser et lui donner différentes saveurs:

– des herbes aromatiques (façon ail et fines herbes)
– des épices (façon 5 baies)
– tout simplement nature pour le tartiner sur une belle tranche de pain aux céréales

Et on obtient une sorte de cream cheese 100% végétal qui est en plus très peu gras.
Mais aujourd’hui j’ai décidé de le revêtir de ses habits et surtout saveurs d’automne!

Avec des morceaux de noisettes qui craquent sous la dent, des morceaux de cranberries séchées pour la petite note acidulée/sucrée et du sarrasin soufflé pour la note grillée.

Alors c’est vrai que j’aurai préféré mettre des figues séchées mais je en avais pas sous la main et on fait avec les fonds tiroir! Optique anti-gaspi.

En réalité ce n’est pas tout, je lui ai aussi ajouté du bon gras avec de la purée de noisettes pour lui apporter une touche onctueuse à souhait. Mais on peut tout aussi bien la troquer contre une huile de noisettes ou de noix. Le gras c’est la vie!
La noisette est riche en acides gras mono-insaturés dont l’acide oléique (un oméga-9)

Est-ce que j’aime la noisette?
Sûrement un peu comme Scrat toujours en quête de sa noisette préférée (je vous laisse visualiser)

Mais j’ai bien envie de changer la prochaine fois avec des morceaux de Châtaignes.
Toujours très automnal mais en version un peu plus sucrée, ce cream-cheese doit permettre des recettes intéressantes.

A vous de jouer

Envie de tester d’autres variantes de fromages végétaux je vous invite à découvrir ma recette à base de grains de kéfir: Un fromage affiné vraiment bluffant.

Vous avez remarqué comme les fruits et légumes de saison se déclinent dans les tons de rose et de violet? Figues, mûres, raisin, prunes, aubergines, betteraves…
Lacouleur des aliments n’est pas simplement un aspect esthétique mais elle traduit certainespropriétés nutritionnelles. Ainsi, les aliments violets sont très riches en anthocyanes, une substance fortement antioxydante qui leur confère leur couleur.
Et comme la nature fait bien les choses, elle nous apporte cette richesse au moment où nous avons en avons besoin. En somme elle nous prépare pour l’automne!!
Alors j’ai décidé de l’écouter et je mise sur ce houmous de betterave.
Mon secret à moi, c’est de labetterave rôtie au thym et cela fait toute la différence. Croyez-moi!!
L’essayer c’est l’adopter. Et cerise sur le houmous je lui ajoute un peu de paprika fumé et….je vous laisse juger!!!
Et mettez du rose dans votre vie (et votre assiette)

Est-ce que vous savez que c’est la seule recette végétale qui a le droit de porter le nom de caviar?

Et que cela a même été entériné par une décision administrative?!

A cause d’une erreur de traduction.
Car le mot Caviar dont l’origine remonte au grec ancien n’est censé désigner que des œufs de poisson.

Une seule exception à été admise pour une ancienne recette Russe ikra baklajania, traduite par « caviar d’aubergine » par erreur alors qu’elle aurait du être traduite par « aubergine sous forme de caviar » (en anglais aubergine = eggplant! )

Voilà comment on se retrouve à manger en toute légalité administrative du caviar végétal par abus de langage héhé!

Le genre d’anecdote rigolote (sauf pour les puristes) par contre si vous trouvez des caviars de tomates, d’artichauts et compagnie, sachez que c’est complètement en dehors de la législation alimentaire et gare à la répression des fraudes! On ne rigole quand même pas de tout et surtout pas avec les appellations.

Toujours est-il que cette purée d’aubergines à l’ail et au jus de citron est un bonheur à déguster l’été dans des salades ou bien à tartiner sur du pain.

La texture doit être crémeuse (grâce à l’émulsion de la chair des aubergines avec l’huile d’olive) pour cela un bon blender est utile. Et c’est léger en bouche comme du…caviar!

Avec l’arrivée de l’été, les recettes passent en mode estival

Ce petit clafoutis salé aux tomates cerises (en l’occurence celles du jardin) est le parfait exemple de ce que j’aime préparer en cette belle saison.

Il peut se consommer aussi bien froid que tiède. On peut le choisir comme plat principal ou bien en apéritif à se partager ou encore en pique-nique à emporter…

Et cerise sur la tomate, c’est une version 100% végétale que je vous propose: exit le beurre, le lait, les oeufs!!
Si cuisiner végétal ne signifie pas toujours que ce soit moins calorique, en l’occurence cette version se veut plus healthy que l’originale.

Cookies salés tomates et romarin

Pourquoi est-ce que les cookies salés sont une bonne idée?

Peut-être parce qu’avec cette version sans sucre de ce biscuit, on se permet une pause healthy.
A moins que vous ne le préfériez en apéritif qui se voudra sain.
De quoi savourer avec bonheur et moins de culpabilité.
Vous pouvez aussi comme moi compter sur lui pour un pique-nique: simple à transporter, il se grignote en plus du bout des doigts.
Voici donc cette variation aux saveurs très méditerranéennes.

Attention à la cuisson qui peut vite les dessécher, j’ai refait une nouvelle version en y incorporant une cuillère de purée d’amande complète pour plus de moelleux. A vous de choisir ce qui vous convient.

Vous avez des recettes fétiches que vous aimez réaliser à l’occasion des fêtes?

Pour Pâques, mon petit rituel, c’est de confectionner ces petits sablés rigolos en formes d’oursons car avec leurs petites amandes dans les mains, ils donnent l’impression d’avoir été à la chasse aux oeufs. 

Ils sont ludiques à réaliser et pleins de bons nutriments. 

J’affectionne autant leur degré de « mignonerie » que leur saveur subtile grâce au mélange de graines: sésame, pavot, chia, lin.

Autant de bienfaits réunis dans de si petits biscuits, on ne va pas se priver!

J’utilise un mélange de farines mais libre à vous d’opter pour celles de votre choix.

 

Lorsque @quintesens_bio m’a proposé de tester son huile fit-actifs, j’ai accepté parce qu’elle est vegan.
Que vous le soyez ou non n’est pas la question, car ce mélange s’adresse à tous!
A base de 4 huiles végétales (celles que j’utilise) riche en bon oméga 3 et avec un bon ratio oméga 6/3. Sachant que nous avons tendance à consommer plus de 6 que de 3.
Il n’existe pas d’huile parfaite et le meilleur moyen d’assurer nos besoins en acides gras essentiels (ceux que nous ne pouvons synthétiser) c’est de les diversifier!
D’où plusieurs bouteilles dans les placards…
Ce mélange est donc intéressant car ce sont des nutritionnistes qui l’ont élaboré.

Ils ont su trouver certains acides gras essentiels dans le végétal et non dans l’huile de poisson (ou foie de poisson)
Ce qui n’est pas pour déplaire à notre faune marine déjà bien éprouvée…
Alors comme un petit clin d’œil, je me suis lancée dans une recette dans l’esprit terre et mer.

Des rillettes végétales à base de lentilles roses de la variété Rosana (qui tiennent bien mieux à la cuisson que les lentilles corail.)

Un filet d’huile fit-actifs pour l’onctuosité, Un peu de tofu fumé pour le corps, une gousse d’ail, une poignée de paillettes d’algues (type salade du pêcheur), le jus d’un demi ciron et pour terminer ma petite touche qui vient équilibrer le tout: une cuillère de moutarde à l’ancienne!

Une belle idée de snacking le pop-corn. A condition de le faire maison!
On oublie les produits modifiés à faire chauffer au micro-onde, le pop-corn tout prêt du commerce.
Il est en fait peu calorique. C’est surtout l’accompagnement qu’on lui ajoute qui fait pencher la balance énergétique. De plus en le grignotant grain par grain, et donc doucement on atteint assez rapidement un seuil de satieté qui nous permettra de nous caler jusqu’au prochain repas.
Je vous propose d’opter pour une version salée et qui plus est avec ce produit de chez aromandise on réduit l’apport de sodium tout en apportant les bienfaits des algues et du sésame. Un petit plus nutritionnel non négligeable.
Alors certes le maïs a un index glycémique un peu élevé (du fait de sa cuisson qui le fait éclater.
Mais à contrario il possède une charge glycémique assez faible.
Cette notion reflète à la fois la qualité et la quantité des glucides d’un aliment.
Donc à condition d’en consommer une petite portion et en général on s’en contente et bien le pop corn peut tout fait être une option de collation.