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Crêpes vegan au levain


En matière de crêpes, il est coutume de dire en Bretagne qu’il y a autant de recettes que de clocher!
Chacun possède sa petite astuce, son petit truc en plus mais on dit souvent que le gage de réussite réside surtout dans le choix des ingrédients.
Alors autant dire qu’en vous proposant une recette toute végétale: sans oeuf, sans lait et sans beurre, il y a de quoi faire tourner les chapeaux ronds.

Certains diront sûrement que sans les ingrédients de base traditionnels, c’est péché de dénommer cela une crêpe!
Mais j’ai envie de répondre que ce qui fait la réussite d’une bonne crêpe, c’est sa finesse et son goût.
Il me semble que cette recette y répond bien, mais le mieux c’est encore de le juger par vous-même.

La Rochefoucauld disait:

« Le bonheur est toujours à la portée de celui qui sait le goûter »

Historiquement la crêpe n’est pas toute jeune (on retrouve à priori des traces de son ancêtre 7000 ans avant JC)
Il s’agissait alors d’une galette épaisse faite d’un mix de céréales écrasées et mélangées dans de l’eau, cuite ensuite sur une pierre plate chaude dans le feu.
J’aurai donc tendance à souligner: pas de produits animaux…

Il s’agissait donc d’une préparation de céréales qui laissée de côté le temps de faire chauffer le foyer, se mettait à fermenter. Il est là le secret: la fermentation.
C’est elle qui va décupler la saveur, aérer la pâte et donner du moelleux avec sa production de petites bulles.

Nos anciens (pas très lointains) le savaient et il n’est pas rare d’entendre dire, ma grand-mère faisait ses crêpes avec son levain.

C’est donc une recette à base de levain naturel que je vous propose, et vous verrez que l’on obtient une pâte à crêpes « parfaite ».

C’est aussi excellent moyen de ne pas gaspiller le levain que vous écartez de votre levain chef lorsque vous le nourrissez.

Les quantités indiquées m’ont permis de réaliser 12 crêpes de 40 cm de diamètre avec une crêpière traditionnelle. Si vous avez une poêle (environ 30 cm) on peut estimer une 20 de crêpes.

Est-ce que vous savez que l’on peut faire de la pâtisserie avec son blender?
Il est effectivement capable de nous aider à préparer des pâtes liquides de manière express et homogène. Et c’est parfait lorsque nous vous régaler nos proches sans passer des heures en cuisine.
C’est donc une recette de clafoutis que je vous propose. JE l’ai décliné avec des mirabelles car j’apprécie leur saveur douce et que cela change des cerises.
Une version 100% végétale: sans oeuf, sans lactose et que vous pouvez décliner sans gluten pour les intolérants. Il suffira de remplacer la farine de petit épeautre par de la farine de riz.
Pour les fruits aussi, vous pouvez varier!
En définitive, cette pâtisserie peut suivre les saisons et se décliner à l’envie.
Finalement le plus long c’est d’attendre la cuisson…

Dernière astuce, moi j’aime le préparer la veille et lorsqu’il est complètement refroidi je le laisser au réfrigérateur toute la nuit. Il est ainsi tout frais et presque crémeux au moment de la déguster le lendemain.

Est-ce que le melon est la star de mon été?

Oui et encore oui!
La période est assez courte malgré tout alors autant s’en délecter.

Je vous ai donné des astuces pour profiter de lui en période froide ici et ici

Mais tout de même c’est quand il est frais que l’on apprécie au mieux sa chair orangée pleine de carotènes et gorgée d’eau pour bien nous hydrater au passage. On le déguste tel quel ou bien inclu dans des recettes.

En parlant de recette je vous en propose une version glacée:

Vous connaissez la nice-cream?

A l’origine le mot découle de banana + icecream ce qui veut dire glace à la banane et sous entendu de la banane congelée puis mixée: un point c’est tout!

Le must: c’est healthy, vegan, facile à faire.

Et sur les réseaux elle se décline avec différents ajouts de parfums, topping…allant de la version la plus soft à la plus gourmande (et sans doute plus si healthy)

Et bien j’adopte le même usage mais avec du melon.
Il suffit de le congeler quelques heures auparavant, puis de le mixer pour en faire un délicieux sorbet à déguster dans sa peau recyclée en contenant (façon coco givrée).

Bref j’ai utilisé tous les codes des produits exotiques mais revisité avec un produit bien de chez nous: un beau melon de Cavaillon
(en vérité le mien vient d’une petite productrice locale à 10 km de chez moi) mais la variété est bien celle-ci.

Et puis comme j’aime travailler les produits de notre terroir et que j’habite dans la zone du calisson et bien j’ai eu envie de lui associer les mêmes codes.

Du melon, de l’amande, de la fleur d’oranger et vous pouvez si vous le souhaitez inclure le miel mais je préfère sans. En réalité si le melon est sucré il se suffit à lui seul.

Avec mon fidèle je mixe le tout à la minute et il n’y a plus qu’à servir et déguster!

Pour une meilleure densité je remets un peu au congélateur. Par exemple le temps du repas et je le sers au dessert. Cela évite d’avoir un sorbet qui se transforme vite en soupe car le melon reste très aqueux. ceci dit c’est bon aussi la soupe glacée de melon! finalement on est sur un concept deux en un.

Tout le monde connaît la fameuse histoire des soeurs Tatin qui auraient mis au point leur fameuse tarte par maladresse.

Erreur de « débutantes » qu’elles n’étaient pas, oubli par inadvertance bien que la notion de charge mentale n’était pas encore montré du doigt, maladresse mal réveillée…

On a quand même du mal à comprendre comment oublier de mettre une pâte dans une tarte?

A moins qu’un critique gastronomique malin n’inventa l’anecdote pour se moquer de l’intelligentsia parisienne et qui marqua ainsi l’histoire à coup de gros canular!

Il a réussi son coup et a inscrit les soeurs solognotes dans la postérité du dessert inversé.

il faut avouer que c’est franchement une réussite ce concept de fruits cuits sous la pâte, ils se retrouvent confits! Tout moelleux et fondants et imprégnés de leur jus de cuisson qui exacerbe leur saveur.

Mais pourquoi s’arrêter aux pommes, quand tant de plaisirs gustatifs s’offrent à nous? C’est une version salée que je vous propose avec des aubergines! Les miennes étaient des aubergines blanches mais on peut le faire avec les violettes.

Et je dois dire que c’est une belle réussite…qui ne laissera pas grand monde indifférent.

Dégustée juste tiède c’est un pur bonheur qui viendra égayer vos tables estivales.

Vous connaissez sûrement la fameuse brioche léopard?
Elle a souvent été déclinée sur les réseaux: version chocolat, matcha…
Je m’y étais aventurée mais il faut avouer que les temps de pousse à respecter pour faire lever la pâte avaient rendu la tâche un peu longuette.

Même si j’avoue que le résultat à la découpe avait fait son petit effet!
Des tranches tachetées comme une panthère (l’autre nom du léopard) qui visuellement avaient de quoi bluffer.
Alors que si la confection était longue, en réalité elle n’était pas compliquée. Mais du coup j’ai voulu simplifier encore plus et m’essayer à transposer la même technique sur une pâte à sablés! Un peu de temps de repos, certes mais bien moins longs.

Résultat; je vous laisse juger!
En tout cas je n’ai pas été déçue du tout. Et il a fallut que je me dépêche de les photographier avant que mes enfants ne les engloutissent. Ils n’ont pas fait long feu…
Des biscuits que l’on peut proposer dans différentes occasions et pourquoi pas à offrir?

Vous connaissez les févettes?
C’est un légume préhistorique!!
ça va plaire aux amateurs de « régime paléo »
Ah ben mince non ils bannissent les légumineuses…C’est balot!
Parce que les hommes préhistoriques eux et bien il paraît qu’ils aimaient beaucoup les fèves sauvages.
A priori ils avaient même compris qu’en les faisant sécher elles pouvaient leur permettre de survivre à la morte saison.

Bref, les févettes il s’agit tout simplement de fèves sèches et décortiquées vendues à notre époque moderne dans le même rayon que celui des pois chiches!

Au printemps on aime bien la fève fraiche et consommée parfois crue mais finalité elle s’apprécie tout au long de l’année grâce à sa forme sèche et cuite.
Evidemment elle est bonne pour la santé (protéines, vitamines, fibres) et économique!

On peut l’utiliser sous différentes formes, et bien souvent elle sert de bases à des préparations de types potages, sauces, tartinades, galettes, falafels, boulettes et compagnie…
En somme, on l’utilise comme le pois chiche.

D’ailleurs c’est en houmous que je la propose ici!
Armée de mon fidèle blender, s’agit ni plus ni moins que de la recette classique de houmous dans laquelle j’ai subtitué le pois contre la fève.

J’ai aussi supprimé la traditionnelle purée de sésame (tahini). Je trouve que les fèves ont une légère amertume que je n’ai pas voulu accentuer. Libre à vous de la mettre ou pas.

Et pour accompagner ce « mezze » et bien je vous propose des petits dips de chou-fleur rôti!
Et vous allez voir que les deux réunis font plutôt bon ménage.

Bon dommage pour nos ancêtres à priori le chou-fleur ne s’est fait connaitre qu’à l’antiquité…ils n’auront pas pu apprécier cette alliance magnifique!
Les adeptes paleo non plus d’ailleurs.

Voici des gaufres salées à la carotte pour égayer les assiettes et apporter de la couleur!
On pourrait tout à fait les décliner en version sucrée: on switche le cumin contre de la cannelle et on y ajoute un sucrant au choix: du sirop d’érable par exemple!

Mais si j’aime la version salée c’est parce que je peux les décliner en version apéritive ou en version repas complet.
Elles font office de « trempette » dans des sauces estivales par exemple, en les découpant en bâtonnets. Cela change des gressins et c’est mieux que les chips. Sympa pour des apéritifs entre amis.
Mais ce que je préfère c’est encore la gaufre-repas!
Comme on mange des crêpes salées avec des garnitures et bien là c’est une gaufre que je trouve visuellement plus sympathique. On peut s’en donner à coeur joie pour agrémenter de crudités à base de fruits et légumes (le mélange sucré-salé, c’est très sympathique aux beaux jours).
Vous pouvez les préparer à l’avance et au moment de servir ma petites astuce pour leur redonner du croustillant, c’est de les passer au grille-pain.

Rapide et efficace, il ne reste plus qu’à agrémenter. Par exemple de la salade, des morceaux de fraises fraîches, des myrtilles, des radis, des olives vertes, des graines et une tartinade ou du houmous.
C’est frais et plutôt léger à manger.

Pour la pâte je choisis de mélanger farine de petit épeautre et sarrasin mais vous pourriez troquer contre de la farine de riz pour les versions sans gluten.
Je trouve que le sarrasin apporte une petite saveur noisette agréable sur les versions salées.

Enfin dernière astuce: elles se congèlent très bien!
Lorsque vous prévoyez une tournée, doublez les quantités et congelez la moitié.
Vous serez ravis de pouvoir les sortir le jours de flemme ou d’apéritifs improvisés!
Mais finalement ce sont aussi des encas salés qui peuvent faire office de gouter…il n’ y a pas d’heure pour en manger! C’est comme on aime.

Vous ne le saviez peut-être pas, mais à l’origine ces longs et fins biscuits, les fameux Mikado sont Japonais! Au pays du soleil levant il se nomme Pocky.
Nous les avons rapatriés en France en transformant le nom pour faire référence au jeu du même nom.
L’enrobage chocolat est un système breveté afin qu’il soit uniforme et peu de personnes en connaissent les rouages.
J’ai eu visité l’usine (au début de ma carrière de diététicienne je travaillais pour le compte d’un grand groupe alimentaire) mais sur la chaîne, le processus était caché.
Les biscuits rentraient « nus » pour ressortir habillés de chocolat.

Cela ne va pas nous empêcher de tenter l’aventure de les réaliser « maison » et en version végétale. D’autant qu’en ce moment nous avons le temps de faire des tests…et si l’enrobage n’est pas uniforme et bien cela nous fera plus de chocolat! D’où ce joli nom que je leur ai attribué: les mikadoux (quelques grammes de douceur dans ce monde de brutes)

Cet enrobage d’ailleurs vous pouvez ne pas le faire, les biscuits sont tout aussi bons. Vous pouvez les croquer natures ou bien pour les tremper dans de la confiture ou encore faire un glaçage au sucre glace et jus de citron.
Avec quelques gouttes de colorants cela donne des bâtonnets colorés pour les gouters d’anniversaire par ex.

Non, non je n’ai pas beaucoup cotoyé les services marketing de la dite marque!héhé
Enfin, juste assez pour vous dire que les biscuits sont clairement positionnés comme de la gourmandise d’impulsion et que leurs quelques grammes de finesse sont d’une grande irrésistibilité.

Après le survival brownie et le cookie de survie, voici le mug-cake du confiné!

Un jour je devrais peut-être expliqué à mes potentiels petits-enfants, pourquoi toutes ces recettes s’appellent ainsi?!

Leur raconter comment je faisais cuire un gâteau dans une tasse pour leurs parents.

Qu’il était cuit à la vapeur et qu’ils s’en délectaient les fesses posées sur les marches du jardin!
Que c’était la sortie quotidienne « confinement » pendant la pandémie 2020 pour prendre l’air; (et attraper quelques rayons de soleil pour la vit D…je serais vieille mais toujours diet!) Et qu’ils partageaient avec les chats, compagnons fidèles au moment du goûter.

Voici donc cette recette hyper simple et express qui nous rend bien service en cette période.

On se sert d’une cuillère pour mesurer, du mug pour tout verser et puis on fait cuire à la vapeur (les plus extrêmes peuvent choisir le micro-onde mais à la maison nous évitons)

Ah oui! Si vous êtes en rupture de levure chimique:

Remplacez tout simplement par une pincée de bicarbonate et une goutte de jus de citron ou de vinaigre de cidre pour l’activer.

C’est le principe de la levure chimique: elle est composée d’une base et d’un acide et les deux réunis sous l’action de la chaleur donnent du gonflant. Et oubliez le sel de la recette car le bicarbonate a déjà cette saveur salée.

Evidemment le mug cake du confiné n’utilise ni oeuf, ni lait, ni beurre…juste des ingrédients de base sortis du placard.

Il s’agit de la version nature mais vous pouvez la « chocolater » en y ajoutant 2 cuillères a soupe de cacao maigre.

Babka, c’est ainsi que l’on surnomme les mamies en Pologne (baba) et c’est aussi comme cela que l’on appelle cette brioche torsadée qu’elles élaborent pour les fêtes de Pâques.

Dans la version originale, elle est recouverte d’une garniture de sucre et de cannelle.

Son heure de gloire est arrivée via les Etats-unis et plus précisément par New-York qui l’a
popularisée.
De là, elle s’est retrouvée déclinée sous différentes formes et différentes garnitures, celle au chocolat étant la plus plébiscitée.

C’est bien évidemment dans cette déclinaison que je choisis de la présenter.
Pâques 2020 sera peut-être confiné, mais il sera gourmand et festif!

C’est typiquement le genre de recettes que j’affectionne pour sa facilité de réalisation mais dont le rendu en jette. On roule, on coupe et on tresse les boudins marbrés pour un effet wahouu!

Tellement photogénique, qu’elle circule non stop sur les réseaux, et en plus elle est délicieuse.

Ce qui est étonnant c’est qu’on la voit souvent proposée avec des oeufs et du lait alors que dans la tradition juive dont elle est issue, elle est végétale (version parvé)! Elaborée à base d’huile et de jus d’orange.

Ma version fait donc honneur à cela (ma gourmandise aussi) et c’est une recette végétale avec les ingrédients du placard que vous pourrez donc reproduire pour vous régaler que vous soyez seul ou en famille.

🌿🎭 Beignets de carnaval sans oeufs et sans lait 🎭🌿

Voici une chouette recette pour préparer Mardi Gras avec des beignets ou des bugnes plutôt, car les beignets sont en général fourrés.
Ces « merveilles » sont incontournables pour fêter comme il se doit ce dernier jour de « gras ».
Même si l’on peut aussi faire des crêpes, des gaufres, des churros…selon ses envies.

🔸Pourquoi fêter mardi gras?
Il est d’usage de manger en abondance à la veille du jeûne du carême, 47 jours avant Pâques! Même si les origines sont chrétiennes, c’est tout à fait le genre de fête qui peut revêtir un caractère laïque, et qui coïncide avec la période de carnaval.
Ce mot italien provient de « Carnis levare » qui veut dire ôter la viande.
C’est ainsi que le carême se célèbre, période où l’on s’abstient de viande.
Peut-être aussi l’occasion de vous lancer un défi? Tenté par 47 jours d’alimentation végétarienne?
Et pour démarrer justement dans votre démarche je vous propose donc ma version 100% végétale des bugnes! Vous allez vite succomber car ils sont moins riches que la version traditionnelle et bien moelleux.

En général ces petites crêpes de tortillas originaires du Mexique sont fourrées de fromage fondant et de viande. Evidemment je les décline dans une version végétale et elles ne manquent pas de protéines pour autant! Je dirais même que déclinées à ma sauce, elles sont plus « healthy » car beaucoup moins grasses et par la même occasion moins caloriques.

Dans ma version, la garniture est composée de maïs, haricots rouges, de poivrons (frais en saison ou conservés à l’huile), d’un beau coulis de tomates…et en fait, vous les agrémentez comme vous voulez!!

Ce plat est relativement rapide à préparer car les tortillas ne nécessitent pas de temps de pousse. On réalise la pâte et on l’abaisse en galettes très fines sans attendre. Il n’ y a plus qu’à poêler quelques minutes et voilà. Pas question d’acheter celles du commerce pleines d’additifs pour exemple composition d’une marque distributeur: stabilisants : E422 – E466 – E412, poudres à lever : E500 et E450, acidifiant : E296, émulsifiant : E471, dextrose, conservateurs : E282 et E202…

Quand vous allez voir la composition des miennes, évidemment on ne réfléchit pas deux fois!

Alors l’idéal c’est d’utiliser de la farine de maïs mais lorsque je n’en ai pas sous la main je la remplace par de la farine de lupin. Cela fonctionne très bien aussi. Je mélange avec du blé pour plus de tenue mais pour les sans gluten, vous pouvez faire 100% maïs.

Avec les proportions indiquées je réalise 4 quésadillas de tailles moyennes (c’est à dire à la taille de la poêle)

Pour la garniture, faites vous plaisir et amusez-vous même à varier en fonction de vos envies et des saison.

A l’approche des fêtes de fin d’année, le chocolat est souvent mis à l’honneur.

J’ai donc voulu changer un peu la donne et ne lui offrir qu’un second rôle pour une fois.
Et je réserve la 1ère place aux fruits et plus précisément aux cranberries.
J’aime beaucoup leur petit côté acidulé et de les marier avec un peu de pistaches et de cacao, je trouve que l’ensemble fonctionne plutôt bien.
Cela donne des petites bouchées que l’on peut rendre encore plus festives à l’aide d’une touche de paillettes alimentaires dorées.

A l’intérieur on peut y glisser (ou pas) une noisette!
Le petit effet surprise joue bien le jeu et cela apporte aussi une note croquante supplémentaire.

Si vous n’aimez pas les cranberries vous pouvez remplacer par des abricots.
En fait, vous pouvez remplacer par n’importe quel autre fruit sec mais je trouve intéressant l’acidulé.
Si vous consommez ces friandises en fin de repas trop riche par exemple, cela contribue à atténuer l’effet « ventre plein ». D’ailleurs je propose ces petites bouchées au moment du café à la fin du repas.
Mais vous pouvez les consommer à tout moment et ne sont pas réservées qu’aux moments de fêtes, ni au repas du midi.

Elles peuvent se transformer en collations ou snacks sains car elles sont sans sucre ajouté.
La saveur sucrée ne provient que des ingrédients, bruts, bio et que nous transformons nous-même.
La qualité du cacao d’enrobage est importante également, car plus le % de cacao est élevé et plus il source bienfaits notamment en antioxydants.
Il est certes plus gras (mais aussi moins sucré) mais en qualité de couverture, rien d’excessif et la notion de plaisir est respectée.

Encore une fois, l’idée est de pouvoir sélectionner avec soin ses ingrédients et de faire maison.

C’est bien pour cela que mon vitamix est mon outil quasi quotidien.

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Il y a quelques années en arrière j’avais participé à un challenge dont la thématique était:
« Nous allons voir la vie en vert et blanc »

Il fallait donc créer une recette à base d’ingrédients qui ne soient que de ces deux couleurs.
Super défi et l’occasion de proposer une recette qui sorte de l’ordinaire et qui satisfera tous les gourmands.

C’est comme cela que mes truffes sont nées. Et j’ai poussé le challenge encore plus loin.
Car elles sont veggies, crues, sans gluten et à index glycémique bas.
Mais surtout elles sont gourmandes, savoureuses, et pleines de micro-nutriments essentiels!

Le fait de cuisiner cru permet de conserver un maximum d’entre eux.

Un encas sain et naturel et qui change des energy balls à base de dattes que l’on voit un peu partout.
Alors il faut aimer la coco c’est vrai, mais avec son petit enrobage matcha, je dois dire que le duo fonctionne bien et vous pourriez être surpris.
Parfois l’association de saveurs peut lever certains à priori.
C’est aussi une recette qui peut s’offrir à l’occasion des fêtes de fin d’année, se déguster en famille ou entre amis. L’occasion de faire des présents gourmands pour un Noël plus festif.
Merci mon fidèle Vitamix.
Alors prêts? A vos boulettes!

Je vous rappelle que vous pouvez bénéficier d’un code promo sur la gamme Vitamix et c’est aussi une occasionne faire plaisir à Noel.
Un partenaire idéal à utiliser au quotidien pour cuisiner maison, sain et gourmand.

Est-ce que vous aussi vous offrez des présents gourmands à vos proches?